Je m'appelle Jean-Luc. La cinquantaine bien vécue, l'esprit encore curieux et le cœur encore libre mais plus tout à fait en paix avec cette solitude que j'ai longtemps apprivoisée.
Je suis un homme façonné par plusieurs vies : né au Canada, grandi au rythme méditerranéen de l’Italie, et enraciné depuis plusieurs années dans le Sud de la France, à Vilanova. Mon métier m’amène à sillonner les routes, à dialoguer avec des producteurs, à sentir la terre derrière les chiffres je suis cadre commercial dans le domaine agricole, un monde où l’authenticité n’est pas un luxe, mais une nécessité.
J’ai connu l’amour, le partage, et aussi les mirages. Une relation passée m’a appris que la légèreté peut parfois peser lourd. Depuis, je vis seul. Par choix d’abord, par exigence ensuite. Trois années de recul m’ont permis d’apprendre à mieux me connaître et à comprendre ce que je ne veux plus. Mais surtout, elles m’ont permis de rêver à ce que je veux construire avec une femme vraie.
Je ne cherche ni perfection ni promesse en l’air. Je cherche un regard qui ne triche pas, une voix qui résonne juste, une âme capable de silence autant que de complicité.
La femme que je souhaite avoir à mes côtés n’a pas besoin d’être dans la lumière de tout le monde, mais seulement dans la mienne. Elle aime la simplicité sans banalité, la tendresse sans mièvrerie, la profondeur sans se prendre au sérieux. Elle a peut-être, comme moi, été un peu cabossée par la vie, mais elle a gardé cette lumière intérieure que rien n’achète : la capacité d’émerveillement, l’élan vers l’autre, la force douce des femmes qui ne fuient pas l’authenticité.
J’aimerais qu’elle voie dans les petites choses un dîner préparé à deux, une promenade improvisée, un silence partagé tout ce qui fait la richesse d’un lien durable. Qu’elle sache que l’amour n’est pas un feu d’artifice, mais une flamme qu’on nourrit chaque jour, à deux.
Si tu te reconnais dans ces mots, si tu crois encore qu’un lien sincère peut naître sans masque, sans jeu, sans artifice… alors j’aimerais te connaître. Non pas pour combler un vide, mais pour ouvrir un espace nouveau, vrai, vivant.
Jean-Luc
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