L'entrevue de ConFandar_Foufolet
Que faites-vous dans la vie et qu'aimeriez-vous faire plus tard?
Je crée de l'art et j'aimerais faire rêveur professionnel
Que préférez-vous chez un homme ou une femme?
La tendresse bordel :)
Qu'aimeriez-vous faire lors d'une toute première rencontre?
Me rouler par terre. Mais les conventions actuelles u_u
Si vous deviez échouer sur une île déserte, quels sont les 3 objets que vous aimeriez avoir en votre possession?
Un radeau un téléphone satelite/GPS et une pagaie
Quelles sont vos plus grandes qualités?
La lucidité ?
Quels sont vos pires défauts?
Être moi ? X)
Quel est le message le plus drôle ou le plus étrange que vous ayez reçu sur internet?
Veut tu te faire ******?
Quel est le secret de votre beauté?
Un look incroyable xp
Qu'aimez vous comme qualité ou atout chez un homme/une femme?
La bonté d'âme. Qu'importe le physique le c%u0153ur lui ne varie pas j'aime ce qui dure
Que n'aimez-vous pas chez un homme/une femme?
Le fait de détester l'autre en le rabaissant
Quel est votre plus grand rêve?
Voler
Qu'est-ce que l'amour pour vous?
Un rêve éphémère
Si vous étiez président/premier-ministre de votre pays, que feriez vous?
Je m'expatrierais
Êtes-vous fan d'une quelconque vedette de musique, cinéma ou autre?
Je suis fan du héros immortel dans les chroniques de l'humanité.
incarné par bien trop d'hommes et de femmes pour être monomaniaque
Qu'est-ce qui est le plus important pour vous dans la vie?
Le dialogue
Quel est votre animal favori?
La mort du loup Alfred DeVigny
I
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçait la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adorait les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.
II
J'ai reposé mon front sur mon fusil sans poudre,
Me prenant à penser, et n'ai pu me résoudre
A poursuivre sa Louve et ses fils qui, tous trois,
Avaient voulu l'attendre, et, comme je le crois,
Sans ses deux louveteaux la belle et sombre veuve
Ne l'eût pas laissé seul subir la grande épreuve ;
Mais son devoir était de les sauver, afin
De pouvoir leur apprendre à bien souffrir la faim,
A ne jamais entrer dans le pacte des villes
Que l'homme a fait avec les animaux serviles
Qui chassent devant lui, pour avoir le coucher,
Les premiers possesseurs du bois et du rocher.
Hélas ! ai-je pensé, malgré ce grand nom d'Hommes,
Que j'ai honte de nous, débiles que nous sommes !
Comment on doit quitter la vie et tous ses maux,
C'est vous qui le savez, sublimes animaux !
A voir ce que l'on fut sur terre et ce qu'on laisse
Seul le silence est grand ; tout le reste est faiblesse.
- Ah ! je t'ai bien compris, sauvage voyageur,
Et ton dernier regard m'est allé jusqu'au coeur !
Il disait : " Si tu peux, fais que ton âme arrive,
A force de rester studieuse et pensive,
Jusqu'à ce haut degré de stoïque
Si vous pouviez partir demain pour n'importe quel endroit dans le monde, où iriez-vous et pourquoi?
Chez mon grand père dans le Nord pour pouvoir lui dire ce que je n'ai pas eu le temps avant son décès
Que faites-vous de vos temps libres?
Je me change les idées hors de notre Monde
Si vous gagniez un million à la loterie, que feriez-vous avec vos gains?
J'arrose rais tout le monde. Même un clochard qui croiserais ma route. Pourquoi garder à soi ce qui n'est la que pour être dépensé
Si on vous donnait la possibilité d'être qui vous voulez, qui choisiriez-vous et pourquoi?
Autre chose car je regrette d'être un homme
Qu'est-ce que l'amitié pour vous?
Un contrat moral
Si vous pouviez peindre n'importe quel endroit ou paysage que vous avez vu, que peindriez-vous?
Les fleurs tropicales
Quelles seraient les chansons sur la trame sonore de votre vie?
Tomber sept fois se relever huit(Mylene Farmer)
Si vous étiez perdu dans le désert, qui aimeriez-vous avoir comme compagnon/compagne avec vous?
Un /une muet(te) u_u
Quelle est la dernière expérience que vous avez vécue qui vous a rendu plus fort(e)?
Me mettre au zen
Quelle est votre citation favorite?
Ce qui ne tue pas...
Si vous écriviez un livre, ce serait à propos de quoi?
Impossible je serais gavé une fois rendu à la préface...
Préféreriez-vous être un oiseau ou un poisson, et pourquoi?
Un poisson. Requin baleine. Car je n'ai pas la mentalité du prédateur
Quel a été votre plus grand défi dans la vie?
Survivre jusqu'à la x)
Quelle est la dernière expérience que vous avez vécue qui vous a fait rire?
Me vautrer de mon lit
Qu'est-ce qui est le plus important selon vous, les études ou l'expérience de vie?
L'aventure c'est la vie. Rien de se ressent dans un manuel
Si vous pouviez retourner dans le passé, à quelle date retourneriez-vous et pourquoi?
À ma naissance pour voir ma tête x)
Quel est votre plus beau souvenir?
Ma main dans celle de ma mere quand j'étais enfant et celle de.... Dans ma main quand j'étais au lycée
S'il y a quoi que ce soit que vous pouviez changer dans votre vie, qu'est-ce que ce serait?
Le pays ? L'époque ? J'hesite
Quel titre donneriez-vous à une biographie sur votre vie?
R. À. S. sur la Terre
Qu'aimeriez-vous dire aux personnes qui visitent votre profil?
Ayez une vie pleine de joie
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