Le passage aux 80 ans est un handicap. J'aurais pu mettre 79,99 ans comme on affiche les prix pour les gogos, mais je suis honnête et qu'importe ce qu'en penseront les femmes superficielles.
Je ne rechercher pas un conjoint exclusivement dans ma région, je ne suis pas sectaire. Je trouve égoïste d'exiger dans une vie commune que l'un des conjoints n'est pas le droit d'avoir une maison dans un département autre que celui dans lequel vit le couple.
Je suis un homme franc, honnête, amoureux, attentionné. J'ai de la tendresse à donner, si longtemps contenue, réservée à une femme qui aurait entre et 60 et 70 ans, franche, agréable, coquette, soignée, intelligente, aimante, cultivée, qui pratique le français avec aisance, dont son vocabulaire ne se limite pas à : "du coup"; "en fait", "cool" ; ne s'exprimant pas en franglais et non plus par apocopes ou aphérèses.
Je ne me fais pas d'illusion, je suis bien conscient que c'est la femme qui choisi.
Je pratique le sport réel (7 heures par semaine), pas devant la télévision.
Je n'ai pas le ventre tombant les buveurs de bière, comme la plupart des hommes, dès la trentaine ; j'ai horreur de ça.
Je ne veux pas être désagréable, mais chat échaudé craint l'eau froide. Je ne suis ni une banque, ni une nounou. Je ne recherche pas non plus une infirmière ou une femme de ménage.
Je ne suis pas misandre, je n'en reste pas moins un homme, mais je ne suis pas machiste.
Je n'apprécie ni les tatouages, ni les piercings.
J'évite de manger de la viande par respect au bien-être animal, sauf quand j'invite ou suis invité ; je n'ai pas l'égoïsme des végétariens et je n'oblige pas ma future compagne à partager mon hygiène de vie.
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